Michel Berger: le coffret «Anthologie» 13CD sortira le 9 avril !

Ce coffret regroupe 11 albums studio enregistrés entre 1973 et 1992, ainsi que des titres rares et des musiques de films réunis sur deux disques bonus.
Rendant hommage à la carrière solo de Michel Berger, ce nouveau coffret Anthologie regroupe dans une boîte luxe 11 albums studio, chacun dans leur pochette originale cartonnée, ainsi que 2 CD bonus de raretés et musiques de films. Basée sur une photo de Dominique Issermann, la couverture de ce coffret est inédite ; un livret l’accompagne, comportant de courts textes de présentation signés Bertrand Dicale.
Compositeur hors pair et producteur perfectionniste, Michel Berger a modernisé la chanson française dès Cœur brisé, son album éponyme de 1973 (qui contient les titres Pour me comprendre et Attends-moi), puis de 1974 à 1976 avec Chansons pour une fan (qui comporte Écoute la musique), Que l'amour est bizarre (le fameux Seras-tu là ?) et Mon piano danse (La Génération du Sergent Poivre).
Michel Berger s’imposera définitivement en tant que chanteur dans le cœur du public en 1980, avec La Groupie du pianiste, sur Beauséjour (qui contient aussi Celui qui chante et Quelques mots d'amour). Beaurivage (Mademoiselle Chang), Voyou (Les Princes des villes, Diego libre dans sa tête), Différences (Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux) respectivement en 1981, 83 et 85 puis Ça ne tient pas debout et son Paradis Blanc en 1990 marqueront la décennie suivante, nourrissant sa popularité. En 1992, parait l’album que certains espéraient depuis longtemps : Double Jeu, enregistré avec France Gall (pour qui Michel Berger n’a jamais cessé d’écrire), la réunion de leurs deux talents, mise en lumière par les singles Laissez Passer Les Rêves, Superficiel et léger et Les Élans du cœur…
Un répertoire de haute volée donc dans ce coffret, qui abrite aussi le méconnu Dreams In Stone (avec des membres du groupe Toto et conçu à l’origine pour un projet d’Opéra Rock) et sur 2 disques bonus des titres hors albums, des raretés et des musiques de films, dont un grand nombre indisponible sur CD depuis vingt ans (entre autres À qui donner ce que j’ai et Au revoir Angelina(tous deux avec France Gall), les remixes de Y’a pas de honte et Ça ne tient pas debout, les B.O de Sérieux comme le plaisir de Robert Benayoun, Tout feu tout flamme de Jean-Paul Rappeneau ou encore Rive droite, rive gauche de Philippe Labro). La quintessence d’un chanteur à part, dont on ne cesse de redécouvrir toutes les facettes !
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