Indochine : ils dévoilent un nouvel extrait du prochain album !

Nicolas Sirkis a publié une vidéo de quelques secondes sur son compte Twitter. Elle dévoile une partie d'un morceau mystérieux.
Si vous êtes fan d'Indochine, ne manquez surtout pas ce qui suit. Le 8 juin dernier, Nicolas Sirkis, leader du mythique groupe de rock français, profitait de son passage dans l'émission Quotidiende Yann Barthès pour annoncer l'arrivée de leur nouvel album, intitulé sobrement "13" (sortie prévue pour le 8 septembre 2017,ndlr). Le premier single La vie est belle (2017) avait été dévoilé, ainsi qu'une tournée évènement de 24 dates en 2018.
Plus récemment encore, ce jeudi 27 juillet, Nicolas Sirkis continuait de faire languir les "Indofans" (nom donné aux passionnés du groupe, ndlr) en postant un énigmatique extrait d'un morceau figurant sur le fameux treizième album à paraître. On reconnait parfaitement l'ambiance sonore si singulière qui a fait et qui fera toujours la gloire d'Indochine. En grosses lettres, on peut lire les quelques mots pour le moins mystérieux que chante Sirkis dans l'extrait : "Je suis ce que je savais. J'y ai dansé la nuit. L'esprit parfois retrouvé, et parfois c'est fini. Je me raccroche à qui ? Tous mes héros sont morts. ?Ne reste que mes ennemis, tant pis si j'ai eu tort".
— nicola sirkis (@nicolasirkis) 27 juillet 2017
Un échantillon énigmatique mais tellement envoûtant, qui ne manquera certainement pas de donner l'eau à la bouche aux fans de la première heure d'Indochine. Par ailleurs, quelques jours plus tôt, Nicolas Sirkis partageait toujours sur son compte Twitter la pochette de "13", elle aussi très originale. Signée de l'artiste néerlandais de 58 ans, Erwin Olaf, elle montre treize enfants posant pour un cliché semblable à une photo de classe. Portant de mystérieux costumes, aux allures princières pour certains, ils fixent l'objectif d'un étrange regard. Peut-être que les membres du groupe viendront éclaircir quelques unes de ces zones d'ombre dans les semaines ou mois à venir. Parfois, et à vrai dire souvent avec Indochine, le plaisir réside dans l'impénétrabilité du mystère et de l'allégorie.
Commentaires